Pour étayer sa demande de « suppression », le demandeur, George Ononuju, prétend que la page de Scamdoc est une copie d’un contenu qu’il a publié sur son blog.
La demande DMCA est considérée comme abusive. L’analyse de la situation révèle que la prétendue violation du droit d’auteur invoquée par le demandeur, George Ononuju, n’est pas fondée. Il est établi que le contenu sur le blog du demandeur, présenté comme l’original, a été publié après la création de la page sur Scamdoc. Cette chronologie contredit l’allégation de copie et de violation du droit d’auteur. De ce fait, la demande ne repose pas sur des preuves crédibles et ne justifie donc aucune action de modération.
En conséquence, aucune modération n’est réalisée, afin de préserver la liberté d’expression et l’intégrité de la plateforme Scamdoc.