Pour étayer sa demande de « suppression », le demandeur explique que les commentaires portent atteinte à la réputation de son entreprise, affirmant des faits qu’il juge diffamatoires.
La notification ne respecte pas entièrement le formalisme de la LCEN, notamment par son absence de contact avec les auteurs de contenus. De plus, les écrits spécifiques mentionnés ne sont pas accompagnés de preuves substantielles qui étayent les allégations de diffamation. La demande manque ainsi de précision et de justifications légales nécessaires pour une action de modération.
En l’absence de ces éléments, et suivant la jurisprudence française, aucune modération n’est réalisée.