Pour étayer sa demande de « suppression », le demandeur explique que ce contenu est obsolète et néfaste pour la pérennité de l’entreprise. Malheureusement, le site Aspireflex n’est plus actif.
La demande est succincte et ne respecte pas le formalisme légal de l’article 6 de la LCEN :
– Les écrits litigieux ne sont pas clairement désignés, ni ciblés avec précision (pas de détail spécifique sur le contenu exact à supprimer).
– Le ou les auteurs ne semblent pas avoir été contactés.
– Le motif légal indiqué (impact négatif sur la vie privée et professionnelle) ne semble pas en phase avec celui qui concerne habituellement les produits et services.
Sans détails, il n’est pas possible de réaliser une modération équilibrée vis-à-vis de la liberté d’expression.
Pour cette raison, aucune modération n’est réalisée tant qu’aucune information conforme à la loi ne sera communiquée.